Il y a des phénomènes, que ne connaissent pas ceux qui ont les ‘pieds lourds’, et qui se nomment, suivant le contexte: ‘triangle des bermudes’, ‘Kairos’, ‘ goutte d’eau’, ‘ balance des priorités’, ‘Instant présent’, etc… Être dans l’instant présent, Marie, et tu dois le savoir, c’est <être disponible.>
Disponible donc sans impératif, réactif , sans inertie.
Disponible au besoin, à l’envie, à la curiosité.
Disponible! C’est un, parmi d’autres, des apprentissages du Chemin. Un comportement assez difficile dans le sillon de la vie sociétale et qu’il faut donc cultiver quand on en a l’occasion.
Les motifs d’improvisation sont personnels, contextuels, imprévisibles, comme l’aiguille de la boussole quand on traverse un parking.
Je ne m’impose pas un programme, je ne fais pas une course, je respire l’air du temps en suivant mes intuitions, quand c’est possible, sans gêner personne .
Mon contexte, en partie au moins, s’appelle: León, Madrid, Espagnol, surnombre, réservations, pluie, anniversaires. .
2 jours plutôt, c’était pluie, douleurs, surpopulation, Oviedo…
Demain serait autre, j’embouque le nouveau, je l’embrasse , je l’adopte. C’est une forme de liberté exceptionnelle, enivrante même, d’arriver à faire ce dont on a envie sans gêner personne et sans devoir s’en justifier. Surtout quand ce n’est pas un acquis permanent.
Donc, Marie, je te laisse avec mes réflexions hétéroclites et je poursuis mon Chemin qui n’a pas, lui non plus besoin de Santiago pour être de Compostelle.
Souviens toi de A.Machado:
« Voyageur, le chemin
C’est les traces de tes pas
C’est tout ; voyageur,
il n’y a pas de chemin,
Le chemin se fait en marchant… »
C’est en marchant que tu fais Ton chemin! Il n’a pas besoin de programme, juste de ton assentiment, de ton instinct, de ton désir.
Il ne tient qu’à toi.
je t’embrasse.
Patrice.
Comme je t envie ! Cette liberté est un luxe dont tu as bien raison de profiter puisque tu le peux.
J’en rêve !
A bientôt dans tes pas.
Je t’embrasse
Marie
Mais que diable fais-tu à Madrid ???
Ainsi s’achève le chemin ?
J’ai du louper un épisode…🙄🤔
Il y a des phénomènes, que ne connaissent pas ceux qui ont les ‘pieds lourds’, et qui se nomment, suivant le contexte: ‘triangle des bermudes’, ‘Kairos’, ‘ goutte d’eau’, ‘ balance des priorités’, ‘Instant présent’, etc… Être dans l’instant présent, Marie, et tu dois le savoir, c’est <être disponible.>
Disponible donc sans impératif, réactif , sans inertie.
Disponible au besoin, à l’envie, à la curiosité.
Disponible! C’est un, parmi d’autres, des apprentissages du Chemin. Un comportement assez difficile dans le sillon de la vie sociétale et qu’il faut donc cultiver quand on en a l’occasion.
Les motifs d’improvisation sont personnels, contextuels, imprévisibles, comme l’aiguille de la boussole quand on traverse un parking.
Je ne m’impose pas un programme, je ne fais pas une course, je respire l’air du temps en suivant mes intuitions, quand c’est possible, sans gêner personne .
Mon contexte, en partie au moins, s’appelle: León, Madrid, Espagnol, surnombre, réservations, pluie, anniversaires. .
2 jours plutôt, c’était pluie, douleurs, surpopulation, Oviedo…
Demain serait autre, j’embouque le nouveau, je l’embrasse , je l’adopte. C’est une forme de liberté exceptionnelle, enivrante même, d’arriver à faire ce dont on a envie sans gêner personne et sans devoir s’en justifier. Surtout quand ce n’est pas un acquis permanent.
Donc, Marie, je te laisse avec mes réflexions hétéroclites et je poursuis mon Chemin qui n’a pas, lui non plus besoin de Santiago pour être de Compostelle.
Souviens toi de A.Machado:
« Voyageur, le chemin
C’est les traces de tes pas
C’est tout ; voyageur,
il n’y a pas de chemin,
Le chemin se fait en marchant… »
C’est en marchant que tu fais Ton chemin! Il n’a pas besoin de programme, juste de ton assentiment, de ton instinct, de ton désir.
Il ne tient qu’à toi.
je t’embrasse.
Patrice.
Comme je t envie ! Cette liberté est un luxe dont tu as bien raison de profiter puisque tu le peux.
J’en rêve !
A bientôt dans tes pas.
Je t’embrasse
Marie
Thanks!
‘de nada’ whoiscall, et ‘bon voyage’ , je suppose.