De Marta de Tera à Mombuey
Comme toujours, au début je n’y croyais pas. Mais ça fait une semaine et je suis installé dans la marche, le rythme du chemin, de ses découvertes, des tâches à accomplir pour être prêt dès le matin. Je suis dans le chemin!
Ses fatigues, ses mini douleurs, ses coups de fatigue, ses repas décalés et mal équilibrés. Le partage des chambres, les bruits des autres la nuit.
Mais aussi les longues journées solitaires à goûter la longueur du temps.
!!!
Encore sur le chemin ! 👏
J’espère que tes petons sont gentils avec toi.
40kms, et un récit soigné d’une promenade bucolique dominicale… C’est sur, tu es dans le chemin !
Digne ! peut-être aussi soigné ?
Oui ‘liam, c’est moins rigolo comme ça mais je fais le Chemin de Compostelle, pas des posts sur Insta. Je gère donc les priorités et quand je marche 10:00, que je dois encore boire la bière dont je rêve depuis 6heures, trouver de quoi manger le lendemain, parler avec ceux qui dormiront dans cette même auberge et dont un, espagnol, me propose d’aller manger avec lui, je n’hésite pas à laisser ce blog incommode que je ne relis jamais. Surtout au moment où ma seule envie est enfin de dormir! Donc, il faut parfois m’excuser d’être un peu expéditif, c’est quand je n’ai plus le temps pour ça, simplement.🥴