01-09-2017:
Dure journée que ce vendredi, car avant de marcher, béatement, vers nulle part ailleurs, il me faut d’abord atteindre Pampelune où je me suis arrêté l’an passé. Et là, maintenant, smartphone en poche, on a…blablaCar!
9:30 Louis, brillant etudiant en sport me prends à mc Do et m’emporte à Bordeaux en 4:30. Magnifique! mais mauvais exemple car avec bla bla… on sait souvent quand on part mais rarement quand on arrive. Encouragé par Louis, je reserve à la volée Sara pour 14:00-17;00 à San-Sébastien et Ignacio pour 18:00- 19:00 à Pampelune…!
Le depart de Sara, avec son copain dans un bus Vw des années 60 ,une vitre en carton et 4 passagers dont moi, est pour 15:20 puis, insouciance et economie faisant loi, on suit son téléphone gps qui évite soigneusement toute forme de voie rapide payante. Les 230 km s’égrèneront fonc en 5h au lieu des 2,5 attendues.
Fi du rdv avec Ignacio comme celui à 19h avec Alejandro, nous arriverons juste à temps pour grimper dans un bus à 20:30 qui nous conduira à Pampelune en 1 heure. Les auberges pour pèlerins, de l autre cote de la ville ferment a 22h ( le pèlerin se lève tôt), je choisi donc un hôtel modeste en chemin, le dans la ville grouillante de vie à cette heure tardive. La clameur qui monte de la rue ne s’amenuisera que vers minuit: on est bien en Espagne. Jy ai aussi pris un diner tardif puisque c’est la norme à cette latitude.
Mais le chemin reprend sa loi demain, je me couche rapidement.