2020-Piemont-10
C’est le chant du coq qui me réveille à 7h, j’ai donc bien dormi!
à 8h je descends retrouver nos hôtes, Charly et Michelle pour le petit-déjeuner , vite rejoins par les deux autres marcheurs, Claude et Claude, et leur chien , ‘Lou’.
À 8h30 , j’abrège des conversations parties pour durer tant les gens sont sympathiques.
Et à 8h40 j’ai retrouvé le chemin vers Mirepoix.
Le temps est gris et quelques gouttes légères m’accompagnent mais il ne fait pas froid.
Dans un champs, 2 biches s’egayent à mon approche.
.
13:00 Mirepoix. La pluie reviens, soutenue. Je visite sous les arcades médiévales, ternes avec ce temps. Beaucoup de restaurants, pas trop de qualité, beaucoup de touristes. Je m’arrête, sans grande raison au Casti, pour une bavette d’aloyau avec un verre de rosé.
Entre temps, 14:00 sonnent et le soleil repointe son nez, ensoleillant cette place faite pour lui. Je pars à la recherche de l’hôtel du commerce.
Je m’y occupe des obligations du pèlerin en matière de lavage et d’organisation.
Vers 1700, je décide de voir Mirepois sous le soleil. Et je dois admettre que c’est une métamorphose. Le soleil y change tout: le monde afflue dans les cages, restaurant et boutiques. Les jeunes rient sur les bancs de la place, la bière d’abbaye coule à flot, les nains et les nymphes dansent sur le gazon…(ça, j’ai peut-être mal vu…). Bref, en chassant la pluie, le soleil a rendu la vie à la ville. (Oui, je sais, comme ailleurs, mais là, c’est mieux!😊😜).
je consomme donc là ma bière de 17 heure,
et savoure un moment le spectacle de la rue avant d’aller sagement visiter l’impressionnante église.
Vers 19:00, je descend pour le dîner en terrasse à l’hôtel, et j’y retrouve Claude et Claude
qui avaient choisi la même étape. Ils quitteront le GR à Pamiers, mais je les reverrai peut être un jour sur la via Garona qui part de chez eux.
Mais ce soir, je ne traîne pas, demain, il y a de la route et les pyrenees les proposent ascendantes , allez savoir pourquoi!